En réponse à la désinformation de l’ONG Protection des droits sans frontières (PDSF)

Déclaration de l’ONG Europe en droit sur la désinformation diffusée par PDSF

Le 9 mars 2015, grâce à son site et son réseau d’affiliés, l’ONG Protection des droits sans frontières a diffusé des informations créant l’illusion qu’elle serait partenaire l’ONG Europe en droit dans le cadre du prétendu projet « Soutien juridique aux activistes. »

Notons qu’Europe en droit n’a signé ni contrat ni protocole de coopération avec cette organisation depuis 2013 sur aucun de ses programmes. Il n’y a même pas eu d’accord oral.

Le programme mis en œuvre par notre organisation dans le domaine du droit à la liberté de réunion s’intitule « Activisme civique autonome de A à Z. » (source : http://ela.am/index.php?route=product/category&path=59_91#.VP6K1fmsX2c). Il est financé par la Fondation européenne pour la démocratie, dont les informations contenues sur son site internet mentionnaient l’ONG. (source : https://www.democracyendowment.eu/we-support/legal-assistance-for-activists/). Toutefois, ce dernier n’a rien à voir avec ce programme ni avec aucun autre programme d’Europe en droit. Considérant le nom de leur programme figurant dans leur déclaration, il est un fait que ces personnes ne sont jamais entrés en contact avec nous. Ils ont tout simplement échoué à obtenir sur Internet cette information pour une raison quelconque.

Apparement, en créant cette illusion, PDSF essaie avant tout d’orienter celle-ci vers l’observation du concours pour la sélection du juge arménien à la CEDH, comme une impression de sa participation active.

Cela a suscité notre surprise quand le média Hetq a annoncé que PDSF avait participé non seulement au concours d’observation de 2015, mais aussi au concours de 2014 et avait envoyé un rapport à la CEDH, couvrant ainsi soigneusement l’information du public.

Le fait que l’organisation d’intérêt public n’engage pas le dialogue avec la société et ne présente pas ses observations au public (de manière verbale ou écrite) témoigne de ses véritables objectifs.

Tout cela ne fait que renforcer nos doutes sur le fait que PDSF n’est rien d’autre qu’une autre manipulation des autorités arméniennes dans le contexte du concours pour la sélection du juge arménien à la CEDH.